La légende continue
Publié: 19 Août 2014, 18:44
Je suis, par hasard, retombé sur ce chef d'oeuvre aujourd'hui :
Eastern II
Voici les impressions qui ressortent (sachant que ça fait genre 5 ans que je ne l'ai pas revu) 8 ans après :
- il y a des passages comiques qui fonctionnent
- je trouve que la scène d'action finale est la meilleure scène d'action de l'histoire de la RC
- le début est incompréhensible (et pourtant on a écrit le scénario ensemble !)
- la matière est là, et du coup le sentiment de frustration vis-à-vis de nos moyens actuels est énorme (je suis à 2 doigts de proposer de faire un remake ou un reboot ) => c'est mal éclairé, le son est pourri, l'image est fade.
- en règle général, je le trouve encore trop long et le film pourrait démarrer à la scène de la mise à prix (avec qq aménagements pour présenter Mona). Le moteur du film étant la relation de Mona avec Lupino, puis le triangle avec Payne, c'est ça l'essentiel à conserver.
- Max et ses artifices nous manquent ... c'est qd mm excellent qd ça pète dans tous les coins.
Au final, je dirais qu'on s'en était pas si mal tiré
Eastern II
Voici les impressions qui ressortent (sachant que ça fait genre 5 ans que je ne l'ai pas revu) 8 ans après :
- il y a des passages comiques qui fonctionnent
- je trouve que la scène d'action finale est la meilleure scène d'action de l'histoire de la RC
- le début est incompréhensible (et pourtant on a écrit le scénario ensemble !)
- la matière est là, et du coup le sentiment de frustration vis-à-vis de nos moyens actuels est énorme (je suis à 2 doigts de proposer de faire un remake ou un reboot ) => c'est mal éclairé, le son est pourri, l'image est fade.
- en règle général, je le trouve encore trop long et le film pourrait démarrer à la scène de la mise à prix (avec qq aménagements pour présenter Mona). Le moteur du film étant la relation de Mona avec Lupino, puis le triangle avec Payne, c'est ça l'essentiel à conserver.
- Max et ses artifices nous manquent ... c'est qd mm excellent qd ça pète dans tous les coins.
Au final, je dirais qu'on s'en était pas si mal tiré